Back in town
J'arriverais pas trop dire ce qui me pousse à écrire sur mon blog, à quel moment l'article s'impose.
Il y a des périodes sans mots, des périodes où il y en a trop, mais les moments que je préfère c'est quand les mots surgissent de manière désordonnée dans ma tête, et je sais que je devrais les discipliner pour tenter d'en faire quelque chose, mais impossible, ils m'échappent sitôt pensés et restent là, en suspens, comme une fumée de cigarette.
Je me sens sereine.
J'ai réalisé récemment que je n'avais pas à faire d'efforts, que j'en avais déjà beaucoup fait.
Alors tant pis pour ceux que ça indispose, j'ai décidé de ne pas m'excuser d'être moi.
Je sais que le message arrivera à ceux à qui il est destiné, puisque, quoi qu'ils en disent, ma vie à l'air de les passionner.
Et je n'en dirais pas plus parce que j'estime que ça n'en vaut pas la peine, que ça serait pathétique et ridicule d'étaler ici cette histoire.